Tiens, je découvre un peu, et c'est étonnemment un régal autant dans l'animation, la mise en scène, ou les personnages. Je suis très déter pour la suite! 

Je me lance dans l'aventure.

Je vais être honnête, je connais l'anime depuis longtemps mais il ne m'a jamais attiré. La combo cowboy + espace, c'est tout ce qui ne m'attire pas. J'ai choppé le coffret à 10 euros à la JapEx, c'était un signe de tenter l'expérience.

Et je suis plutôt agréablement surpris. Le début est un peu pénible, je trouvais ça mou et limite un peu confus.

Mais passé cinq minutes, je me suis retrouvé happé dans l'action. Oui le scénario n'a rien de fou mais alors le reste paw paw paw. L'animation est jolie (pour du 98), le héros pète la classe (un peu plus de réserve sur son compère), j'ai adoré les interactions entre Spike et la nana et les combats sont ultra dynamiques et jouissifs.

Mais là où c'est fort, c'est cette FUCKING DE PUTAIN DE BO. La musique en temps normal je m'en fous un peu. Mais là c'était complétement ouf la dimension qu'elle apportait à chaque scène où elle était présente. Le combat devient magistral (j'ai trouvé que dans l'ambiance cela faisait très Bayonetta) et la scène de fin avec le saxo d'une beauté immense.

Un pilote qui pose des bases ultra solides, un univers très prometteur, une ambiance envoutante et une BO ahurissante, ça sent le bon run pour moi !

Après avoir lu et entendu de très bons avis sur cette série (notamment ici), j'ai décidé de me lancer à mon tour dans l'aventure. Et ce malgré le fait que je suis pas du tout fan de l'animation japonaise, aussi bien au niveau du dessin que des personnages ou des histoires.

Finalement je dirais que mon avis est quasiment le même que celui de CFF, à savoir que déjà, effectivement, l'animation me gêne un peu. J'aime bien Spike mais son compagnon est très banal pour le moment, et l'intrigue de l'épisode est assez classique même si avec ce format, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde.

Mais putain, il y a vraiment une poésie assez incroyable qui se dégage de certains passages. Notamment grâce à une musique somptueuse, qui se marie particulièrement bien avec ce mélange western/science-fiction.

Ahh, ce saxophone durant la scène finale, juste magique...

Bref, il va sûrement me falloir un temps d'adaptation pour me familiariser avec l'animation, mais je compte bien continuer.

A mon tour, vous m'avez donner envie de revoir Cowboy Bepob (la contamination continue).

Il est assez intéressant de constater que, dans cet épisode, la musique fait tout. Le scénario, on s'en fout, l'intrigue, on s'en balance. L'important, c'est l'ambiance. Et sur ce point, la poursuite finale au piano est une petite merveilleuse.

Définitivement et autant que dans mes souvenirs, Cowboy Bebop, c'est cool.

Moi qui voulais me venger des multiples affronts subis par My Little Pony à cause de ces mêmes tristes sires qui portent Cowboy Bebop aux nues, eh bien je crois que ce sera pour une autre fois, parce qu'en effet, ce n'est pas mal.

Les gros points forts sont à mon sens le background et l'ambiance, avec une alchimie très efficace entre les univers western et SF : j'ai bien aimé le coup des gates, c'est particulièrement classe. On sent qu'on est dans un univers qui a une histoire et qui ne sert pas de simple décor froid et inexpressif à l'histoire, et ça j'aime bien.

Mais la qualité qui m'a le plus marqué est la bande-son absolument remarquable : j'aime beaucoup l'atmosphère créée par cet harmonica omniprésent, et certaines musiques étaient vraiment belles et classieuses (Taoby me dit que ça va en s'améliorant, tant mieux !).

Bon, par contre, l'histoire est un peu légère et pas franchement transcendante : les deux chasseurs de primes ont la classe et leur duo a l'air de bien fonctionner, mais la scène d'introduction et l'intrigue de l'épisode en général m'ont laissé un peu froid (même si le nom du bad guy m'a fait marrer). Heureusement, la course-poursuite hallucinée à la fin de l'épisode vient rehausser le niveau global, soutenue en outre par une musique de malade (je me répète, mais c'était beau).

Enfin, et c'est purement subjectif, mais je n'aime pas beaucoup l'animation japonaise, ce qui me gâche un peu le plaisir : je trouve ça trop rigide, ça m'énerve, et je n'adhère pas franchement à l'identité visuelle du show...

Ce qui ne m'empêchera pas de regarder la suite.

Ouahou merci Taoby de m'avoir donné envie de me revoir cowboy bebop, c'est encore mieux que dans mon souvenir.

J'ai pris un pied monstre à revoir ce premier épisode. Pas tant pour le scénario, qui est assez classique quoi qu’efficace, que pour l'ambiance géniale qui se dégage de tout ça.

Et puis il y a plein de petites choses que je n'avais pas su apprécier à leur juste valeur en première vision, il y a plus de 10 ans de cela. Je ne me souvenais plus qu'il y avait des colonies spatiales comme il y en a dans gundam, par exemple. Le décor "western SF" n'est pas neuf, les colonies non plus donc, mais le graphisme est tellement beau et inventif qu'on rentre tout de suite dans l'ambiance et qu'on ouvre grand les mirettes tout du long !

Le graphisme justement.... Chaque personnage a un design, des postures, une démarche, des expressions, qui lui sont propres. La scène où Spike combat Asimov après avoir joué à Clint Eastwood est graphiquement absolument géniale ! Regardez son visage, ses mouvements, un véritable régal !

Et puis bon, Spike... Spike, quoi ! <3

Quelle classe quand même !

Alors déjà je voudrais remercier Tan et Captain, puisque c’est grâce à leurs avis que j’ai eu envie de m’attaquer de nouveau à Cowboy Bebop, pour qu’enfin un vrai dessin animé pour adulte hétérosexuel soit mis en exergue sur le site, donc encore une fois, merci les filles…

Sinon je dois vous dire que je suis assez surpris par ce premier épisode, je l’ai vu maintes et maintes foi et c’est pourtant lors son visionnage ce matin que j’y ai pris le plus de plaisir.

Cet épisode est une très bonne introduction au monde de Cowboy Bebop, en effet il permet en un épisode d’introduire certains personnages, du background, et les prémisses de ce que sera la musique qui est limite un personnage à part entière dans la série et qui est synchroniser à la perfection avec l’image.

(Il n’y a pas encore de thème fort mais on entend les première notes par exemple de ELM un morceau que j’adore.

http://www.youtube.com/watch?v=YR4TDBXebWc

Bien que le binôme Spike (un mélange entre Cobra, Nicky Larson, et Lupin) et Jet (une sorte de Baracuda en plus intelligent mais qui sera un peu la figure paternel de l’équipage) soit sommairement présenté, on a déjà envie d’en savoir plus sur eux, le potentiel et l’alchimie fonctionne immédiatement.

La scène d’ouverture (la fusillade un peu obscure) nous permet d’appréhender ce que sera le fil rouge de la série (le passé du Spike avec la triade et son histoire avec Julia). Mais nous y reviendrons plus tard.

Ici nous avons à faire à un « Stand Alone » et l’enquête de cet épisode est parfaitement réussis, tout au long de ses 20 minutes une véritable empathie et un sentiment de solitude se tisse entre le téléspectateur et Asimov et sa femme.

Plusieurs scènes sont vraiment réussis, l’échange entre Spike et la femme d’Asimov, la fusillade génialissime avec les effets de la red eyes sur Asimov, mais surtout la scène de fin « SPOIL » ou Asimov finit tué par sa femme d’une belle dans la tête dans un silence spatial « Fin SPOIL » (Et oui ça change des poneys qui cague un mille feuille à la cerise).

Le regard que lance Spike au massacre de fin, nous permets de définitivement d’adopter le personnage.

Je voudrais ajouter que CB date de 1998, et que pourtant la série possède toujours, une réal qui tient incroyablement la route, que ce soit aux niveaux de l’univers mis en place, (les gates, les chasseurs de primes, les colonisations des planètes etc…) de la technique (le combat Entre Spike et Asimov est juste brillant au niveau de l’animation) mais surtout au niveaux de l’ambiance, c’est la première fois que l’ambiance Western me saute à la gueule dès le premiers épisode.

Outre le look d’Asimov avec des Bottes de Cow Boy, on y trouve le saloon et ses joueurs de pokers avec la fusillade qui va avec, le shaman, une ambiance crépusculaire assez vide, (les scènes avec Asimov, Spike et sa femme sur le « trou à rat » comme l’appel cette dernière), parsemé de plaines étendue et vide, ou encore cet harmonica et cette guimbarde qui nous suit tout du long de cette chasse à l’homme.

Bref je trouve que pour un truc qui date d’il y a 13 ans et de 20 minute, beaucoup de chose, nous donne véritablement envie de revenir, d’autant que connaissant la destination, je vous le dis de suite, la voyage va vous marquer à vie et au fer rouge.